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Le Blog parmi les blogs (mais en mieux)
17 mars 2013

le "Printemps Français" du 24 mars, ou l'art de tout mélanger, et d'oublier le sens de l'expression.

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Je suis fâchée Lecteur.

Fâchée parce que pour moi, les mots, les expressions, ont un sens. Parce que des dernières années, le mot "Printemps" associé notamment à "Arabe", était synonyme de vent de révolution ou révolte populaire pour renverser les régimes corrompus et dictatoriaux, synonyme même de liberté. Bref, c'est une expression pleine de symboles, ayant évidemment plusieurs références historiques que je ne détaillerai pas ici (accole "Printemps" à "Pragues" ou à "Budapest" et cherche sur Wikipedia).

Enfin voilà, je ne vais pas te faire un dessin, mais c'est une expression qui ne s'utilise pas, comme ça, à la va-vite, pour faire classe et raccord avec les soulèvements qui ont eu lieu en Tunisie, en Egypte et ailleurs. On ne mélange pas les torchons et les serviettes, hein.

Et bien apparemment, si. Apparemment, c'est normal d'appeler "Printemps Français" une manifestation, non pas pour, mais CONTRE de nouveaux droits qui seront accordés à une minorité (les homosexuels pour ne pas les nommer).

Je vais faire rapide : je suis pour le mariage pour tous. Donc inutile de te dire qu'au delà du fait que je trouve cette manifestation complètement stupide, et que j'ai en horreur la Dame en Rose que je n'appellerai même pas par son pseudonyme ridicule (propos complètement subjectifs, qui n'engagent que moi), et qu'évidemment chacun a droit dans ce pays de manifester et qu'il est hors de question d'empêcher les gens de s'exprimer; je suis CHOQUEE que ce groupe d'individus se soient appropriés l'expression "Printemps Français".

Parce que je le veux, moi, ce Printemps Français. Mais je ne descendrai pas dans la rue, je ne mobiliserai pas un dimanche, je ne prendrai pas le TGV simplement parce que j'ai décrété qu'il ne fallait pas que les homos puissent se marier ou adopter.

Parce que le Printemps Français, c'est LE POUVOIR D'ACHAT pour tous, c'est LE LOGEMENT pour tous, c'est UN EMPLOI pour tous, c'est L'EDUCATION pour tous, et que ça, ça devrait pouvoir faire bouger les foules. Moi, et d'autres, serions prêts à nous mobiliser pour dire à ce gouvernement que trop, c'est trop. Que les classes moyennes en ont marre de bosser pour ne pas réussir à mettre 1 € de côté, qu'elles en ont marre d'être le socle de la société, et d'être sans arrêt les seuls sur qui les gouvernements tapent pour combler ça et là des dépenses toujours plus importantes. Parce que le Parti Socialiste vous a menti, à tous, (pas à moi, je ne les ai jamais cru) , parce qu'il faut arrêter d'être mous, qu'il faut se bouger et se faire entendre. Parce que l'augmentation de la TVA, on en veut pas, pas plus que la fiscalisation des allocations, ni celle du gasoil. Parce qu'on ne veut pas que les pensions de retraite baissent.

LE PRINTEMPS FRANCAIS C'EST CA. Le Printemps Français, c'est tous ensemble, tous ceux qui ont été victimes des plans sociaux, tous ceux qui ont subi les augmentations de charges, tous ceux qui sont d'accord pour faire des efforts,  mais des efforts justes, tous ceux qui pensent qu'on ne peut pas relancer l'économie sans soutenir la consommation.

Et ce ne sera pas le 24 mars.

Le 24 mars, dans ce fake Printemps Français, et là pour le coup je vais insister sur le mot Français, c'est à dire, toi et moi Lecteur, tout le monde : il y aura qui ? Il y a aura, en tête de cortège, une femme qui se dit "catho branchée" , c'est la France, ça ?  Il y aura, à  la fin, probablement un petit groupe de chez Civitas, c'est la France, ça ? Il y aura des parents qui emmèneront leurs enfants en bas-âge dans cette manif (tout à fait la place d'enfants, à qui on impose des opinions), en les utilisant comme vitrine de la famille parfaite, c'est la France ça ?

Et bien non, ce n'est pas la France. Je refuse qu'on associe la nation à ce simulacre de révolte populaire.

Moi, quand tu veux Lecteur, je débarque dans la capitale pour le vrai Printemps Français, celui qui aboutira à la dissolution de l'Assemblée Nationale, et à de nouvelles élections législatives.

 

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Commentaires
C
De l'eau au moulin. Interview de Béatrice Bourges<br /> <br /> <br /> <br /> Alors que le Gouvernement continue à être sourd face aux arguments des défenseurs du mariage, Nouvelles de France a rencontré Béatrice Bourges, porte-parole du Collectif pour l’enfant et de la Manif pour Tous.<br /> <br /> <br /> <br /> Comment réagissez-vous au communiqué de la Préfecture de police qui prétend qu’une manifestation sur les Champs n’est pas possible en raison du risque de troubles à l’ordre public ?<br /> <br /> <br /> <br /> Je suis choquée qu’une fois de plus, le Gouvernement bafoue le peuple qui souhaite s’exprimer contre un projet de loi discriminant et injuste, qui va bouleverser la société en profondeur. Depuis des mois, notre voix est méprisée. Nous sommes dans un déni de démocratie. Ce qui c’est passé avec le Conseil économique, social et environnemental est stupéfiant : 700 000 voix sont tout simplement passées à la trappe !<br /> <br /> <br /> <br /> Les arguments avancés par la PP sont risibles. Nous avons prouvé combien nous savons être pacifiques : pas un incident lors de la dernière manifestation, c’est exceptionnel. Je travaille à Paris, dans un lieu visité par de nombreux touristes, sur un trajet propice aux manifestations, proche de ministères, qui se déroulent toujours pendant la semaine, lorsque les magasins sont ouverts. Cela n’a jamais eu l’air de poser de problème à la Préfecture de police. Oui, vraiment, nous sommes victimes d’un déni de démocratie. Mais nous ne nous laisserons pas faire et nous manifesterons tous sur les Champs Elysées le 24 mars.<br /> <br /> <br /> <br /> Vous étiez ces derniers jours en Corse, à Dijon, à Auch. Vous serez demain à Antibes, dans deux jours à Nantes : sur le terrain, que constatez-vous ?<br /> <br /> <br /> <br /> À la fois de l’amertume d’être si peu reconnus et une grande détermination. La mobilisation est plus grande que jamais. Ils ne comptent d’ailleurs pas s’arrêter à la prochaine manifestation du 24 mars. Ils sont bien décidés à continuer au-delà. Je trouve cela très encourageant. Le peuple s’est levé et la résistance s’organise. J’en suis personnellement très heureuse. Lorsque j’ai commencé ce combat, en fondant le Collectif pour l’enfant, il y a maintenant plus de 7 ans, je me sentais beaucoup plus seule !<br /> <br /> <br /> <br /> « Protéger la famille, c’est protéger l’ensemble de la société. La fragiliser est une absurdité. »<br /> <br /> Ce que je trouve intéressant dans ce mouvement, c’est qu’il est très décentralisé. Les régions prennent des initiatives et nous ne pouvons que nous en réjouir. Cela augure bien de la pérennité de l’action.<br /> <br /> <br /> <br /> Aux Nouvelles de France, notre conception de la liberté est très large. Au-delà de du mariage, il nous semble que certaines libertés sont actuellement menacées par le projet Taubira (objection de conscience, liberté religieuse avec la revendication du mariage homo religieux ensuite, etc.) Qu’en pensez-vous ?<br /> <br /> <br /> <br /> Je pense en effet que le projet de loi Taubira va bien au-delà d’un projet qui ne concernerait que quelques personnes, contrairement à ce qui nous est dit. Mais au-delà du fond, la façon de vouloir l’imposer par la force, au mépris de la liberté de conscience de ceux qui sont concernés en premier lieu, comme les maires, montre le peu de respect du gouvernement pour les élus qui ne sont pas de son avis ! Est ce cela la démocratie ? Je ne le crois pas. L’humiliation répétée entraîne forcément des réactions. Le gouvernement ferait mieux d’écouter le peuple et de tenter d’abord de résoudre les problèmes économiques et sociaux de la France. S’attaquer au socle de la société qu’est la famille comporte beaucoup de risques, surtout dans cette période si troublée. La famille est un repère et un refuge, lieu de solidarité par excellence. La protéger, c’est protéger l’ensemble de la société. La fragiliser est une absurdité. J’espère que le gouvernement va revenir à la raison et retirer ce projet de loi.
C
La théorie du gender enseignée à l'école primaire selon "Le Petit Nicolas"<br /> <br /> <br /> <br /> "On a eu éducation sexuelle"<br /> <br /> A <br /> <br /> l'école, la maîtresse était toute bizarre aujourd'hui. Elle nous attendait dans la classe en poussant des gros soupirs, alors que d'habitude elle est toute rigolote, et qu'elle pousse des gros soupirs que quand elle interroge Clotaire et que Clotaire est tout rouge. <br /> <br /> Elle a dit: Bon! Que comme M. Peillon, le ministre chargé de notre éducation, avait décidé de s'appuyer sur la jeunesse pour faire évoluer les mentalités, on allait faire un cours d'éducation sexuelle et que le premier qui rigole, il irait voir le Bouillon (le Bouillon c'est notre surveillant, c'est pas son vrai nom, il s'appelle M. Dubon, mais quand il vous gronde il vous dit: « Regardez-moi dans les yeux » et dans le bouillon, il y a des yeux; ce sont les grands qui m'ont expliqué ça). Nous on n'avait pas du tout envie de rigoler parce que le Bouillon, c'est pas un rigolo. <br /> <br /> La maîtresse nous a regardés et elle a dit que l'important dans la vie, c'était d'être tolérant. Nous on est drôlement tolérants alors on a tous fait oui et Agnan qui est le chouchou, et qui se met toujours devant, il a dit qu'il était encore plus tolérant que tout le monde puisque de toute façon il est le premier de la classe partout sauf en sport. Eudes, il lui a dit: « Fais pas le malin, mon petit pote, sinon tu vas voir comment je suis tolérant». Et là, je crois que la maîtresse elle a compris que ce serait pas facile aujourd'hui.<br /> <br /> Elle est allée au tableau, elle a attendu qu'on se taise, et elle a demandé avec un air très sérieux: , « Bon... Alors ... Si vous êtes une fille, levez la main! » Toutes les filles ont levé la main, et aussi Clotaire, qui avait l'air embêté. Mais la maîtresse elle a dit comme ça: « Très bien Clotaire, c'est ton choix, si tu veux être une fille, c'est à toi de décider ». Là, Clotaire, il est devenu tout rouge et il a dit «Non, M'dame, c'est juste que je veux aller faire pipi». « Bon, a dit la maîtresse, tu peux y aller». « Vas pas chez les filles! », a dit alors Eudes en rigolant. Mais la maîtresse a tapé sur son bureau et elle a dit que si Clotaire voulait aller dans les toilettes des filles, c'était son choix, et qu'il fallait par rigoler avec ça. Et que c'était la théorie du genre, et qu'il fallait que chacun choisisse, et elle nous a fait écrire sur nos cahiers: « Chacun est libre de choisir son genre ».<br /> <br /> « N'empêche, a dit alors Rufus, moi j'ai un kiki, et je vais pas décider que je suis une fille. » La maîtresse a répondu que c'était de l'hétérosexisme, et qu'il fallait en finir avec l'hétérocratie, et que si ça continuait comme ça on finirait au bagne parce qu'on était tous homophobes. J'ai regardé Agnan, et j'ai vu que même lui il avait rien compris. Ça devenait vraiment compliqué et j'aurais presque préféré faire de l'arithmétique. Elle a senti qu'on était un peu perdus, alors elle a essayé d'expliquer de manière pas pareille: « Vous avez un corps ... c'est à vous de décider de... », «Moi, j'ai un goûter, mais j'ai pas un corps!, il a dit Alceste. Mon corps, c'est moi!» Faut que je vous dise, Alceste, c'est un copain, il aime bien manger, il mâche lentement un peu toute la journée, et ça lui donne sûrement le temps de bien réfléchir à la vie. Souvent quand il se bagarre, c'est moi qui lui tient ses croissants et après il m'en donne toujours un bout.<br /> <br /> Un petit rond blanc sur le tableau tout noir <br /> <br /> Bon, a dit la maîtresse, je continue. Nous on a trouvé ça bizarre, mais on a rien dit parce que des fois la maîtresse c'est comme si elle allait pleurer et nous on veut pas lui faire de peine. Elle s'est mise à faire un petit rond blanc sur le tableau tout noir en disant: « Ça, c'est un spermatozoïde ». Et elle m'a demandé d'expliquer ce que c'était. Ça tombait bien parce que Papa m'avait expliqué la semaine dernière le coup des petites graines que le papa donne à la maman... et après ça fait un bébé dans le ventre de la maman et paf!, le bébé sort. On lui fait des tas de câlins et on appelle Mémé pour la prévenir qu'elle est encore grand-mère. <br /> <br /> «Merci Nicolas, a dit la maîtresse, je reprends la leçon. Bien sûr vous pensez tous qu'une famille c'est un papa, une maman et des enfants. Eh bien, il y a d'autres modèles, et ce serait drôlement rétrograde de pas l'accepter. Et si deux monsieurs s'aiment ou deux dames on voit pas ce qui les empêcherait de se marier et de faire ou d'adopter des bébés. » <br /> <br /> «ça tombe bien! a dit Rufus. Moi j'aime bien Léanne et Chloé, alors je me marierai avec les deux en même temps puisqu'on s'aime. » Léanne a dit qu'elle était pas d'accord du tout, et Chloé a dit que de toute façon elle épouserait son papa, et que puisque deux monsieurs qui s'aiment pouvaient se marier, elle pourrait bien se marier avec son papa, parce qu'elle aimait très fort son papa. «Oui, a dit Rufus, mais il est déjà marié avec ta maman! » <br /> <br /> La maîtresse a dit que c'était pas le sujet et elle s'est remise à taper sur sa table, juste quand on commençait à drôlement bien s'amuser. Et elle a continué à expliquer: avec la technique on peut faire tout ce qu'on veut et tout ce qu'on pourra faire on le fera. On peut faire des PMA [procréation médicalement assistée] ou des GPA [gestation pour autrui.], et d'ailleurs louer son ventre ou louer ses bras à l'usine, c'est du pareil au même. <br /> <br /> Et elle a expliqué qu'un monsieur peut donner une petite graine à deux dames, qui avec un docteur sauront bien se débrouiller pour faire un enfant. Ou bien deux monsieurs peuvent mélanger leurs petites graines et aller voir une dame pour qu'elle donne sa petite graine à elle, et on donne tout ça à une autre dame qui va faire le bébé dans son ventre et le revendre aux deux monsieurs.<br /> <br /> Puisque je m'aime, j'ai droit à mon clone!<br /> <br /> Moi, a dit Rufus, j'ai vu un reportage à la télé, et on pourra bientôt faire des clones! Puisque je m'aime, j'ai droit à mon clone! Mais Agnan a dit que ce serait mieux de le cloner lui, parce qu'il était le premier de la classe et que M. Peillon préférait sûrement qu'on le clone lui et pas Rufus. <br /> <br /> Ils allaient commencer à se battre quand Geoffroy a rangé ses affaires et pris son sac. «Où vas-tu? », a demandé la maîtresse. «Je m'en vais, a dit Geoffroy. Puisqu'on peut choisir son genre, bah moi, je vais aussi choisir mon espèce. Je suis un pingouin. Et comme les pingouins vont pas à l'école, je rentre chez moi. » J'ai regardé Geoffroy, et je me suis dit que c'était vrai, il avait un peu une tête de pingouin et qu'après tout, c'était son choix. Mais Geoffroy, lui, il a regardé la maîtresse et il a compris que pingouin ou pas, il valait mieux revenir à sa place. <br /> <br /> On allait chahuter, mais on s'est arrêté parce qu'au fond de la classe Juliette pleurait. Juliette on l'entend jamais, elle dit jamais rien... Et Juliette elle a dit que si c'était comme ça, elle allait se jeter sous un pont... Parce que déjà c'était pas facile de grandir surtout quand on a des parents séparés, que si en plus on faisait des enfants sans papa ou sans maman, alors c'était pas juste, c'était simplement moche, et que si tout le monde a le droit de s'aimer il faudrait pas oublier non plus qu'un enfant, ça a besoin d'un papa et d'une maman, et que c'est peut-être ça d'abord l'égalité des droits, et qu'on pourrait donner autant de papas qu'on voudrait à un enfant ça lui ferait jamais une maman. <br /> <br /> Elle a dit tout ça d'un coup, et la maîtresse elle est restée longtemps la bouche ouverte et j'ai bien vu qu'elle avait très envie de pleurer. Mais elle a pas pleuré. Elle a pris Juliette dans ses bras, elle lui a fait un gros câlin comme Maman fait avec moi, en lui disant des choses gentilles dans l'oreille. Après, elle nous a regardés. Et puis d'un coup, comme ça, elle a essuyé le tableau en disant que zut, tout ça c'était des bêtises et qu'on allait pas se laisser faire, et que si M. Peillon voulait faire cours à sa place, qu'il essaie un peu, mais qu'en attendant on allait faire de la grammaire. Non mais sans blague!<br /> <br /> <br /> <br /> Finalement, c'est peut-être pour les profs que c'est le plus dangereux ! Pourvu que François ait prévu assez de remplaçant longue durée pour cause de dépression nerveuse...
M
Je vous crois aisément sur votre non-ringardise , c'est pareil ici ! Pas de jeux vidéos ni de plats surgelés non plus !
A
Pas mieux, je ne comprends pas le rapport entre une famille solide et le mariage pour tous. Le mariage hetero ne se manifeste pas toujours par une famille solide et je vois pas en quoi une famille homo ne pourrait pas etre solide et aimante.
M
Je ne voulais pas spécialement rentrer dans le débat du mariage pour tous ni dans celui de l'adoption ...<br /> <br /> <br /> <br /> Ceci étant, je ne comprends pas comment vous pouvez partir du principe que forcément une famille homoparentale sera "fragile" et "déconstruite" ? C'est quand même cataloguer d'entrer de jeu les homosexuels, et aussi par là même oublier que des environnements de ce genre existent malheureusement chez les hétéros. Pour simplifier mon propos : des cons , il y en a partout, chez les homos comme chez les hétéros. Une simple lecture des faits divers vous rafraîchira la mémoire.<br /> <br /> <br /> <br /> Je n'ai pas compris le parallèle entre "les besoins fabriqués" , donc la société de consommation, et le mariage pour tous. On peut être un père de famille attentif, et être homosexuel, vous ne pensez pas ?<br /> <br /> <br /> <br /> Il faut en appeler à votre raison "laïque" si j'ose dire, et non à vos convictions religieuses, pour vous demander si vraiment, autoriser le mariage CIVIL aux couples homosexuels , sera si catastrophique que cela pour la société. <br /> <br /> <br /> <br /> Je précise par ailleurs que je suis contre les mères porteuses, et pas spécialement pour la PMA (cela me pose divers problèmes que je ne développerai pas ici).<br /> <br /> <br /> <br /> Concernant l'enseignement du gender, cela ne me choque pas outre mesure. De toute façon, soyons réalistes, la reproduction reste la reproduction, et on expliquera toujours aux enfants qu'il faut naturellement un spermatozoïde et un ovule pour fabriquer un oeuf. On ne leur mentira pas. Tout comme aujourd'hui par exemple, un enfant Africain adopté par un couple d'Européens nécessite des explications aux plus jeunes. "Cet enfant a été adopté, il a des parents biologiques qui pour des raisons X ou Y ont décidé de le laisser à une famille qui lui apportera tout ce dont il a besoin", point.<br /> <br /> <br /> <br /> Ce n'est pas parce qu'on légalise le mariage entre hommes ou entre femmes que demain il y aura partout des familles homoparentales, et que les hétéros seront en voie de disparition.
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